Spiruline des étoiles : bio, humanitaire et cultivée différemment,
une spiruline révolutionnaire !

Spiruline des étoiles | Une spiruline innovante et humanitaire - Ferme des étoiles - Secteur 8 - Koudougou 01 - Burkina Faso - E-mail : fermedesetoiles@yahoo.fr


Comment qualifier une spiruline
(ou un aliment) par l’ENERGIE VITALE ?

La fin programmée du BIO ?





1. Le goût de la spiruline

Ne nous voilons pas les yeux, nous les adeptes de la spiruline. Il faut admettre que, à quelques exceptions près, pour le grand public, la spiruline…








1 • Ça pue !

2 • Ce n'est pas bon !





Mais POURQUOI ce n'est pas bon ? ?




2. Les raisons les plus courantes du « ce n’est pas bon ! »


a. Matières organiques en décomposition dans les bassins, conduisant à une grande flore bactérienne, , grande flore bactérienne, accompagnée souvent de protozoaires, amibes (non pathogènes, heureusement), et même petits insectes batraciens. Test : le milieu nutritif des bassins « sent » et n’est pas buvable. Surtout en fin de saison de culture, et en l’absence de purge continue ou hebdomadaire des bassins. D’où l’odeur forte de la spiruline, l’arrière-goût avec sa sensation de « visqueux », ce qui n’a rien à voir avec son goût véritable ! L’analyse microbiologique ne révèle pas toujours ce problème, la spiruline étant séchée dans un temps très court. Par ailleurs, les bactéries pathogènes ont plus de difficulté à croître dans les milieux basiques (selon Ripley Fox).

b. Pour la grande majorité des producteurs, pas de rinçage de la spiruline récoltée à l’eau, ou bien rinçage largement insuffisant. En résultat, l’odeur est forte lorsque les bassins sont « vieux » (quelques mois sans purges).

c. Nourriture généralement aux intrants chimiques : à l’opposé du phénomène de décomposition, cela donne à la spiruline un goût fade, reconnaissable en début de saison de production (avant la décomposition du milieu). Si le goût n’est pas désagréable, en revanche cela conduit à une Energie Vitale plus faible.

d. La spiruline peut être conservée trop longtemps dans les sachets : 6 mois après sa date de production, le goût original est déjà fortement altéré, par suite de l’oxydation lente du produit. Cela donne un gout chimique, de rance, oxydé, désagréable. La date limite de consommation indiquée sur les sachets est le plus souvent surévaluée pour faciliter la vente.



3. Jusqu’à présent : un complément alimentaire


1. La spiruline est le plus souvent considérée par le grand public comme un complément alimentaire et NON comme un aliment.

2. On la consomme de préférence en gélules ou en comprimés (le nez bouché, berk) : ceci, pour cacher la consistance, le goût et l’odeur de beaucoup de spirulines industrielles, qui représentent à peu près 95% de la production mondiale !!!
Voici la raison véritable, l’aviez vous compris ?

3. Pour le commun des mortels, rares sont les spirulines mangeables, encore plus, les « bonnes » spirulines, y compris les « Bio ». Les spirulines françaises artisanales ont heureusement permis peu à peu de se démarquer de cette piteuse image (bien que des progrès importants soient à accomplir). De son côté, la spiruline des étoiles marque une véritable révolution (voir onglet suivant).


4. Comment qualifier une spiruline ?


Trois paramètres clefs de notre choix, par ordre chronologique : le mental, les sens et l’inconscient.

A. La première clef : le mental, AVANT même la consommation de la spiruline.


• Le prix :


C’est LE paramètre qui parait le plus important de prime abord pour le grand public. En réalité, le prix est un argument éphémère. Il s’efface rapidement par la suite devant la qualité et le goût de la spiruline. Car le corps et l’inconscient finissent toujours par avoir leur dernier mot sur le « mental ». Ce sont eux, et non le mental, ni le marketing du produit, qui dicteront la reprise - ou non - de la spiruline choisie.


• La composition chimique :
C’est en apparence une donnée importante pour inciter à la vente : teneur en protéines, vitamines, phycocyanine, fer, micronutriments, etc.

Cependant, si la composition de la spiruline est de part sa nature, remarquable, ce paramètre n’est guère un élément de différentiation entre les spirulines. Les compositions chimiques de toutes les spirulines, tout comme celles des tomates entre elles, se ressemblent, à quelques 10 à 30% près (nous ne parlons pas des spirulines « trafiquées » qui ont été vidées de leur phycocyanine). N’en déplaise aux cartésiens, de telles différences de composition n’ont quasiment AUCUN IMPACT sur le corps physique. Alors, ne vous fatiguez pas à éplucher la composition du sachet, d’autant, qu’elle ne correspond généralement pas à celle du lot fourni.

Mais alors d’où vient l’énorme différence d’effet entre des tomates du jardin et des tomates cultivées sous serre et sans terre, entre des spirulines industrielles et des spirulines artisanales ? Réponse plus loin.

• La présentation du sachet :
Le choix du sachet peut paraître une simple donnée commerciale.
Il n’en est rien.

En fait le choix du sachet a un impact important sur la conservation de la spiruline.

Il existe toutes sortes de sachets alimentaires, en bicouche (aluminium/PE - Kraft/PE) ou en tri-couche (Kraft/aluminium/PE) ; il faut faire des essais.

L’aluminium, recouvert de PE alimentaire (polyéthylène) permet une conservation plus longue, car il empêche l’entrée de l’oxygène de l’air et limite l’oxydation (ce qui n’est le cas ni du plastique ni du papier, même étanchéifié). Même s’il apparait moins « bio » que le carton ou le papier.

Attention aux odeurs émanant du sachet vide (solvants initiaux utilisés pour la polymérisation), qui peuvent imprégner à la longue la spiruline, véritable éponge olfactive, en la rendant immangeable.
Comme vous le lisez, on est encore bien souvent victime du mental dans le choix du sachet..

Il est important enfin de laisser le minimum d’air dans le sachet au moment du remplissage, mais aussi durant son utilisation, pour limiter l’oxydation progressive, cependant inéluctable. Si la spiruline n’est pas consommée dans les 2 semaines, il est recommandé de la placer au frigidaire, dans un bocal de verre.

Les sachets doivent pouvoir se refermer hermétiquement grâce à un système à lèvres.

Encore un petit détail tout de même : vérifiez qu’il bien marqué sur l’étiquette : "Spiruline 100%".

Si la spiruline n’est pas consommée dans les 2 semaines, il est recommandé de la placer au frigidaire, dans un bocal de verre.

• La durée de conservation :
On comprend très bien cet aspect si l’on met son nez dans un vieux sachet contenant de la spiruline. L’odeur et le goût se sont largement dégradés. Ce n’est... pas bon du tout ! Par expérience, la spiruline, qu’on le veuille ou non, quelque soit son origine, son mode de conservation, évolue après quelques mois seulement. Les dates limites de consommation indiquées sur les sachets (DLC), malheureusement souvent de 2 ans, ne prennent pas en compte ce phénomène physique. Prenez soin de consommer votre spiruline dans les 3 mois suivant la date de fabrication. Encore mieux, conservez là au frigo !

• « Bio » ou pas bio ?
Tout d’abord, une injustice : Les spirulines françaises ne peuvent être classées « Bio » car le cahier des charges du label AB n’existe pas encore pour la spiruline. Alors que des spirulines étrangères peuvent être classées « Bio ».par exemple aux Etats-Unis par USDA (organic spirulina), par Ecocert ou Naturland.

Mais que veut dire « Bio », selon AB ?
• Usage de pesticides et d’engrais chimiques interdit ;
• 95% du produit doit être des ingrédients issus de l’agriculture biologique, le reste étant des ingrédients n’ayant aucun équivalent Bio.
Il faut savoir que comme tout végétal, la spiruline a besoin d’azote et de carbone. L’apport en carbone se fait avec des engrais azotés tels que l’urée ou le nitrate de potassium, le plus généralement d’origine chimique.
C’est là où le bât blesse.
L’urée peut cependant être remplacée :
• par des jus de fermentation de composés organiques, contenant de l’ammonium (comme l’urée). Mais les fermenteurs, d’une exploitation délicate, ajoutent encore à la complexité de la culture de spiruline, particulièrement pointue (ceux qui ont entendu le contraire ont été bernés).
• Ou par de l’urine, ce qui ne peut être accepté que par des consommateurs avertis (euphémisme).

Il existe bien aussi des nitrates issus de gisements naturels, mais ils sont souvent riches en métaux lourds. Par ailleurs, cultiver aux nitrates impose des grosses concentrations dans le milieu nutritif et peut conduire à des allergies cutanées si la spiruline n’est pas rincée correctement avant séchage, ce qui est le plus souvent le cas. En conclusion, de même d’ailleurs que pour tout aliment, vous pouvez trouver de très bonnes spirulines pas Bio et des spirulines Bio euh… plus que douteuses, pour ne pas dire dég…asses.
Nous vous conseillons de ne pas considérer cet aspect comme déterminant lors de votre choix.

Les spirulines françaises ne peuvent être classées « Bio » car le cahier des charges du label AB n’existe pas encore pour la spiruline. Alors que des spirulines étrangères peuvent être classées « Bio », par exemple aux Etats-Unis par USDA (organic spirulina), par Ecocert ou Naturland.


CONCLUSION

Le premier achat de spiruline est presque toujours effectué en fonction des considérations du Mental : prix, composition, présentation du sachet, Bio ou pas Bio.
Malheureusement pour nous, notre mental d’humain a très peu de contact avec la réalité physique, à part par les sens, qu’il interprète systématiquement et déforme en conséquence. Le mental réagit essentiellement en fonction de l’ego, des conditionnements, d’une éducation, d’une culture, de préjugés, d’informations orales (des « on-dit ») ou écrites reçues. Bien plus rarement en fonction d’une observation objective. Raison pour laquelle il souvent sujet à l’erreur et à la désinformation.
Cependant, rapidement (et heureusement), à partir du 2ème achat, le mental s’efface devant des voisins de cohabitation beaucoup plus puissants : le corps et l’inconscient de la personne. OUF !


B. La deuxième clef, les sens : la vue, l’odorat, le goût...

... AVANT puis APRES consommation de la spiruline. Ils vont parler à votre mental, mais aussi à votre inconscient.

• La vue :
Une fois ouvert le sachet ou la boite, la spiruline apparait :



en gélules et comprimés : cela donne une apparence de « médicament » à la spiruline, tout en masquant souvent un goût trop fort. Le prix est généralement élevé (180 à 400 € le kg). A utiliser pour ceux qui n’aiment pas la spiruline, même la « bonne spiruline ». L’inconvénient est que vous avalez sans savoir ce qui rentre dans votre corps : tout est masqué. Le vendeur recommande souvent des quantités journalières très faibles, beaucoup trop faibles, pour masquer le prix élevé (1 à 3g). L’efficacité du produit, même s’il est bon, est donc très limitée, sachant qu’une dose journalière raisonnable est de l’ordre de 10g/jour. Et oui ! Vous êtes loin du compte !

En poudre très fine : vous avez affaire à une spiruline industrielle séchée par le fameux procédé « spray-dry », qui fait éclater les cellules. En général, ce type de spiruline n’est guère mangeable. Il est fait pour être incorporé dans des préparations industrielles, dans des gélules ou des comprimés. A noter que l’Energie Vitale du produit, réduit à un assemblage de molécules non cohérentes, est nulle. De ce fait, l’efficacité du produit peut être très faible, voire, dans certains cas, négative (cas aussi des conserves alimentaires stérilisées par exemple). A noter que le prix des spirulines industrielles peut être très intéressant (inférieur à 100€ le kg) et attirer les consommateurs non avertis.

En granulés, poudre grossière, paillettes ou brindilles. Dans le cas des paillettes, ce sont des diamètres de l’ordre du millimètre et une longueur de quelques millimètres à 2 cm. Vous pouvez donc ainsi (enfin !) apprécier la spiruline, la régularité des paillettes, l a présence d’amalgames, la sécheresse ou l’humidité. Ce sont pour la plupart des spirulines artisanales (pressage modéré, séchage lent à basse température). Il est alors facile et très intéressant de les observer au microscope (grossissement 100), en les humidifiant dans une goutte d’eau : elles retrouveront en partie leur forme naturelle. Vous devez alors constater des fragments de spires, et non des spirulines droites, qui indiquent un stress important lors de la production (quoiqu’en disent certains producteurs). La spiruline artisanale est celle qui donne sans aucun doute la plus grande Energie Vitale car, pressée et séchée progressivement, elle préserve au maximum le végétal initial.

• La couleur peut être : vert clair, vert foncé, voire vert bleu, luisante ou terne. Préférez les couleurs vert foncé, ou mieux, vert bleu avec une apparence luisante. Vous aurez une spiruline riche en fer et en phycocyanine, pigment bleu naturel hydrosoluble de la spiruline. Dans le cas des paillettes, choisissez des paillettes régulières et non amalgamées (ce qui indique dans ce cas des problèmes de pressage).



Paillettes amalgamées (pressage insuffisant),
manque de bleu (manque de micronutriments)

Paillettes régulières




• L'odeur :
L’odeur est un élément clef dans le choix d’une spiruline. Une raison de plus pour éviter l’achat de comprimés ou de gélules, qui masquent assez fortement l’appréciation.

FACTEURS FAVORABLES A EVITER
Légère Moyenne ou forte
Agréable (non dérangeante) Désagréable (dérangeante)
Aromatique Poisson
Herbe fraichement coupée Ammoniaquée (surtout à l’ouverture du sachet)
- Croquettes pour chats et chiens
- Rance, éventée, oxydée
- Chimique
- Pourri


L’odeur est un élément clef dans le choix d’une spiruline.



• Le goût :
Il est évident que le goût est essentiel. Il renseigne le mental, mais aussi, plus directement, l’inconscient.

LE GOUT
FAVORABLE A EVITER
Léger Moyen ou fort
Agréable (non dérangeant) Désagréable (dérangeant)
Net Fondant, gluant
Personnalisé, particulier Fade
Herbe séchée Poisson
- Rance, éventée, oxydée
- Sablé
- Chimique, solvant
- Pourri


L'ARRIERE-GOÛT
FAVORABLE A EVITER
Pas d’arrière goût :
semblable exactement au goût
Tout arrière goût, et notamment :
Fondant, Gluant, collant, visqueux (indiquant une flore bactérienne)
- Désagréable
- Poisson
- Rance, éventé, oxydé
- Sablé
- Chimique, solvant
- Pourri

CONCLUSION

Les informations des sens interviennent en général APRES l’achat du sachet ou du flacon de spiruline. Il est très rare en effet de pouvoir goûter la spiruline dans un magasin bio. En revanche, cela est possible si vous vous rendez chez un spirulinier français.
Ces informations fournies par vos sens vont alors largement compléter les « connaissances » initiales de votre mental sur le produit. Elles permettront surtout d’informer votre corps et votre inconscient sur ce que vous apprêtez à consommer.


C. La troisième clef, le chef d’orchestre :
le corps et l’inconscient

C’est, de loin, la clef la plus déterminante, même si elle va agir sur le long terme.

• Il est important de savoir que tout aliment a son énergie, et vous « remplit » ou vous « vide ».
Certains aliments ont une fréquence négative ou très basse et nuisent à votre santé et bien-être. (Sucre blanc, farine blanche raffinée, conservateurs, pesticides, produits chimiques, fritures, viande et produits animaux issus d’animaux maltraités ou mal-nourris, etc.). huiles etc.).

Il est impératif de prendre la décision d’adopter une alimentation « vivante » et haute en énergie (beaucoup de fruits et légumes, céréales non transformées et biologiques, réduction maximale de produits animaux, augmentation des protéines végétales, noix, bonnes huiles etc.).

• Nos aliments sont vivants,
il faut vraiment en avoir conscience pour le comprendre au-delà de nos considérations habituelles qui sont le plaisir de manger, la faim, le désir de tel ou tel aliment, le partage etc. Nos aliments contiennent la vie sous forme d’ondes vibratoires qui interfèrent avec nos propres vibrations. Nous les consommons tous les jours, ils sont issus de la terre et ils émettent un taux vibratoire.

Nous trouvons dans la littérature différents qualificatifs pour nos aliments en fonction de l’énergie vitale :
• les aliments supérieurs,
• les aliments de soutien,
• les aliments inférieurs,
• les aliments « morts ».

Le corps et l’inconscient vont capter les informations, très nombreuses et complètes, dès lors qu’ils seront en contact avec la spiruline. Ils vont évaluer notamment la « vibration » ou « l’Energie Vitale » de l’aliment.

Quelles que soient les informations initiales de votre mental (ou de votre médecin !), le corps et l’inconscient sauront ainsi instantanément si l’aliment vous convient -ou non

Il est intéressant de constater que, contrairement au mental, ces informations sont toujours rigoureusement exactes, l’inconscient étant relié à la conscience de l’univers, à une connaissance sans limite. Quelles que soient les informations initiales de votre mental (ou de votre médecin !), le corps et l’inconscient sauront ainsi instantanément si l’aliment vous convient - ou non - (ou le médicament, ou… beaucoup d’autres choses). Le mental percevra ensuite ces informations, de manière plus ou moins claire et après un temps variable, dépendant du degré d’ouverture du mental à l’inconscient.

Comme l'indique le schéma ci-dessus, il y a en effet une barrière permanente entre le mental et l'inconscient. Le passage est étroit, qui est figuré sur le schéma par les petits trous de la coquille presque étanche qui sépare les deux mondes. Il s'agit d'une part pour le mental, de la CAC ou "Conscience Analytique Cérébrale", et pour l'inconscient, de la CIA, ou "Conscience Intuitive Extraneuronale", comme l'exprime dans ses ouvrages le docteur Jean-Jacques Charbonier. Le passage ne s'opère que lorsque le mental est au repos, dans certaines phases du sommeil, à l'occasion de certaines activités, comme la marche, la course à pied, la pêche, le yoga, la méditation, etc.

Mais l’esprit conscient peut-il avoir accès aux informations du corps et de l’inconscient le plus rapidement possible, peut-être même avant l’achat de votre spiruline ?
Evidemment OUI. Il suffit d’avoir un esprit rationnel, ouvert, et d’être un peu patient.



• Alors quelles approches ?

L’observation simple.

Il faut avant tout faire taire le bavardage du mental, les préjugés sur le produit et… l’observer, sans aucune pensée (autant que possible, cela s’exerce !), dès lors que l’on est en contact physique avec la spiruline, en utilisant ses sens. Le calme, la tranquillité d’esprit, l’absence de stress, mais aussi l’intention, l’attrait pour le produit, sont indispensables pour cela. C’est d’ailleurs ce que vous devriez mettre en pratique au supermarché, tant il est difficile de choisir avec les étiquettes.

Les sens vont vous informer bien sûr, mais la seule présence de l’aliment à l’intérieur du champ vital de votre personne suffira, après un temps plus ou moins long suivant votre ouverture de votre esprit. Il suffira alors d’écouter sa « petite voix », son intuition, qui fera remonter la réponse véritable à la seule question vraiment importante :

Mon corps a-t-il besoin - ou non - de cet aliment ?

Car le corps perçoit l’Energie Vitale, la « vibration » de l’aliment et sait immédiatement reconnaître s’il lui est favorable ou non.

Dès lors, les considérations sur le bio ou le non bio, sur la composition plus ou moins grande en phycocyanine, en fer, etc., n’ont plus cours.

Une approche plus « scientifique
est possible, bien que le plus souvent contestées par nos amis les cartésiens : Si l’on veut évaluer un aliment ou l’analyser avec une approche plus scientifique, vous trouvez à votre disposition les techniques suivantes :

• L’Effet Kyrlian,
• La Cristallisation sensible,
• La Radiesthésie (mesure selon l’échelle de Bovis),
• La Géobiologie (mesure directe du champ vital humain).

Pour notre part, nous évaluons depuis des années l’énergie vitale d’un aliment par la géobiologie, grâce à la mesure du « champ vital humain ». L’effet Kyrlian, bien que mesure physique directe, ne renseigne pas sur l’effet produit sur le corps ; la cristallisation sensible est intéressante, mais reste une approche trop qualitative, soumise à l’interprétation ; la radiesthésie, avec la mesure par l’échelle de Bovis, pose le problème de la convention mentale et de l’évolution permanente et non contrôlée de l’échelle de Bovis, et donne par conséquent des résultats différents suivant les expérimentateurs. Il reste la géobiologie avec la mesure de la couche extérieure du champ vital médian humain, exprimée en cm, qui, avec l’expérience, se révèle précise et cohérente d’un expérimentateur à l’autre. En quoi consiste cette mesure ?


5. Qualifier un aliment, une spiruline par la mesure du « biochamp humain »

Avant d’aller plus loin, je tiens à remercier :

• Jean-Claude Sievert, ex mécanicien français de l’aviation militaire, qui m’a fait prendre conscience en 2009 de l’existence du biochamp au cours du stage « géobiologie » organisé par l’association « Existence » à Privas.

• L’architecte suisse Stéphane Cardinaux, que je n’ai pas eu encore la chance de rencontrer, pour ses explications extrêmement rationnelles et scientifiques présentées dans son ouvrage « bioénergie », considéré comme une référence mondiale.


A. Qu’est ce que le « biochamp » ou
« champ vital humain » ?

C’est un champ d’énergie qui entoure tout ce qui est vivant, animal ou végétal. On l’appelle aussi champ vital.
Il n’est pas détectable par des appareillages de mesure du champ électromagnétique. Il ne s’agit pas non plus du corps astral.
La présence de ce champ révèle notre santé. Il varie en général très lentement au repos, lorsque le corps est à un emplacement donné et que le mental est au repos.

Le biochamp est composé de 3 zones : • Le champ proche de 0 à 20/25 cm environ,
• Le champ médian, jusqu’à environ 200 à 250 cm avec des sous-couches d’épaisseur de 1 cm, éloignées d’environ 30 cm.
• Le champ éloigné, qui commence à partir de la bulle précédente et s’étend sur des dizaines, voire des centaines de mètres.

Nous nous intéresserons uniquement au champ médian pour la mesure de l’énergie vitale.
• L'épaisseur de la dernière couche du champ médian, d’environ 3cm, est plus importante.
• Cette dernière couche est appelée « bulle du champ vital » ou, plus simplement, « champ vital ». Lorsque l’on parle de mesure du champ vital, il s'agit de cette couche particulière, un peu plus épaisse que les autres, donc plus facile à ressentir avec les mains.

B. Principe de mesure du champ vital

La technique que nous recommandons et que nous pratiquons depuis 2013 est en partie issue de l’ouvrage « bioénergie » du géobiologue et architecte Stéphane Cardinaux, pages 18 à 21.
Citons-le :
Ayant mesuré des dizaines de milliers de produits et autres phénomènes, je peux dire que pour tout ce qui nous entoure habituellement, ce qui est favorable dilate le champ vital, ce qui est néfaste le comprime dans une proportion variable, toujours en rapport avec l'impact: plus une nuisance est forte, plus le champ vital sera petit.

Grâce à ces couches que nous nommons « champ vital », il devient possible d'avoir une mesure, reproductible en tout instant dans des conditions similaires. En faisant des mesures sur plusieurs personnes, nous pouvons établir une moyenne des variations du champ vital. En faisant des dizaines de milliers de mesures, l'expérience nous montre que ces variations, exprimées en pourcentage, sont très similaires pour un échantillon donné de personnes. Pour valider cette méthode, nous avons effectué (et nous en faisons encore très régulièrement) des séries de mesures en double aveugle. L'outil statistique en démontre la fiabilité et la reproductibilité. »

Voici donc la technique, dérivée de celle de Stéphane Cardinaux : nous n’utilisons pas la main comme dans son cas, mais un lobe-antenne, instrument de mesure très précis et dont la rotation peut être observée par tous. Le test de l’aliment sur le biochamp humain permet de se rendre compte immédiatement et simplement si cet aliment est profitable (dilatation du biochamp) pour la personne ou au contraire à éviter (contraction du biochamp). La mesure de l’effet induit d’un aliment sur le biochamp humain est directe : nous l’effectuons au moyen d’un « lobe-antenne ». Le biochamp se mesure précisément en cm.

C. Efficacité de la spiruline sur une personne, mesure à partir du champ vital

Il est procédé pour cela à 2 mesures :
• Le biochamp de la personne debout à l’état neutre, sans l’aliment à évaluer, ni interférence extérieure. La longueur du biochamp est notée : Lréf (longueur de référence).
• Le biochamp de la même personne debout, exactement à la même place, tenant en main au niveau du plexus un échantillon de l’aliment dans un récipient. La longueur du nouveau biochamp est notée : L
NB : à noter que la variation du biochamp en fonction d’un stimulus (aliment) est très rapide, de l’ordre de 30 secondes.
L’Effet de l’aliment sur la personne est évalué par la formule :

E=L/LréfX100

Lorsque le résultat est voisin de 100, l’aliment n’a guère d’effet notable sur le corps. Il nourrit, sans plus.
Pour des valeurs supérieures à 100, sa consommation est bénéfique.
Pour des valeurs inférieures à 100, sa consommation est peu recommandée. Pour des valeurs inférieures à 60, elle est dangereuse pour l’organisme.

Voici le résultat de quelques mesures réalisées en 2015 sur différentes spirulines :

Comme on peut le constater, les spirulines provoquent dans l’ensemble des variations du biochamp très largement positives, avec des accroissements importantes pour les spirulines françaises et Burkinabé, de l’ordre de 140 à 150 % % (taille du biochamp humain en contact avec la spiruline multiplié par 1,5). La palme revenant à la spiruline des étoiles, conduisant en moyenne à un accroissement de 250 % (biochamp normal multiplié par 2,5). Ceci est valable pour la plupart des consommateurs. Ce qui signifie que, en principe, ces spirulines artisanales sont hautement profitables à l’être humain.

Très rares sont en effet les aliments qui procurent une telle dilatation du biochamp.

Par contre, nous notons 2 exceptions à cette règle d’accroissement : une spiruline de Côte-d’Ivoire en comprimés, probablement ancienne, ou dont la mise en poudre a fait éclater les cellules. Ainsi qu’une spiruline mentionnée pourtant « Bio », en provenance de Mongolie, mais séchée par le procédé « spray-dry », qui conduit à l’éclatement des cellules. Dans ces deux cas, non seulement il apparait que la consommation de spiruline n’est pas profitable, mais qu’elle est préjudiciable pour le cas de la spiruline de Mongolie. A noter que cette dernière est vendue à un prix très intéressant de 75 € le kilo et bénéficie d’une présentation marketing tout à fait remarquable, ce qui attire le consommateur, ignorant totalement ces aspects.

Ainsi, voici une illustration pratique montrant que nous ne pouvons nous fier au seul label « bio ».

Lorsque vous voyez sur un sachet la mention « BIO » : soyez encore plus vigilant, cela peut cacher des aspects purement marketing, et non l’intention de réaliser un produit sain. Le résultat sur votre santé peut être bien pire qu’un produit non estampillé « BIO ». En général, le corps aura le dernier mot, et la personne séduite au départ par l’aspect « bio » finira heureusement par abandonner le produit : l’inconscient finit toujours par dicter sa loi…

CONCLUSION :
le « bio » déclassé progressivement par l’ « Energie vitale » ?

Nous avons vu que le mental, les sens et l’inconscient nous renseignent tous sur la qualité d’un aliment, parfois de façon contradictoire.

Ce qu’il est important de constater, c’est que ce sont le corps et l’inconscient qui vont progressivement amenuiser puis effacer tous les barrages du mental, soumis aux préjugés (comme le bio ! ), aux habitudes, très influençable par les medias, la publicité, et… les sites internet (eh oui !)

Nous avons vu aussi qu’il y a d’énormes différences de qualité entre les spirulines (comme dans tout aliment), tant au niveau du goût que de l’efficacité, ceci comme tout aliment. Que la mention « BIO » ne signifie pas forcément que votre produit est meilleur…

Le Bio peut être bien pire !

Il est à espérer que le consommateur peu à peu prenne conscience que la spiruline est un aliment – et non un médicament -, que les quantités à consommer pour observer une excellent efficacité, doivent tourner autour des 10g, voire 20g/jour, et non 1 à 2g/jr !

Au risque de paraître trop simple, vous saurez si votre dernier achat de spiruline a été le bon si… vous avez fini votre sachet de 100g en moins d’une semaine et ressentez l’envie de recommander la même marque le plus vite possible.

Faites confiance à votre corps, à ses envies ! Et surtout … diminuez si possible le bavardage de votre mental.

L’association Africa’spi a mis au point un nouveau label spécifique à la spiruline. Il intègre bien sûr la notion d’ « intrants naturels », mais aussi la mesure directe de l’effet de l’aliment sur notre corps grâce au biochamp humain. Pour la spiruline en particulier, cette mesure intègre à la fois la nature des intrants, les conditions de culture, les risques sanitaires, la péremption du produit, l’adaptation du produit à la personne… Elle est étayée par des mesures comparatives relativement précises. Bien qu’encore quasiment inconnue du public, cette notion est révolutionnaire.

A la fois beaucoup plus globale et précise que le simple label « Bio », La mesure de l’Energie Vitale pourrait devenir, suite à l’éveil progressif des consciences, un élément majeur de l’alimentation dans les années à venir.